Coronavirus : un protocole de réouverture contesté par le SNEG & Co

L'actu du CHRD — 3 mars 2021

Aujourd’hui,  les Organisations Professionnelles ont remis au Président de la République, au Premier ministre et à Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’Etat en charge du Tourisme, une contribution pour préparer la réouverture de nos établissements.

Bien que syndicat associé de l’UMIH, le SNEG & Co émet de nombreuses réserves (lire plus loin) à cette contribution signée également par le GNI, le GNC et le SNRTC.

En préalable indispensable, il est réclamée une date fixée et respectée de réouverture avec un délai de prévenance de 3 semaines afin d’informer les professionnels de la prochaine réouverture.
Ces 3 semaines doivent permettre de reconstituer les équipes, de les former et de donner les moyens aux entreprises de fonctionner de nouveau.

  1. Les modalités sanitaires de la réouverture
    Des préalables
    – La distanciation sociale ne saurait être revue à la hausse : 1 mètre entre les chaises des clients n’appartenant pas au même groupe est un maximum.
    – L’exigence d’un « passeport vaccinal » à l’entrée de l’établissement est inconcevable.
    – Une réouverture sécurisée reposant sur un protocole sanitaire défini par la profession et validé par l’Etat, et l’utilisation du QR codes.
    – Un renforcement des contrôles pour sanctionner les professionnels qui ne respecteraient pas les règles.

Une réouverture progressive et pragmatique adaptée à la situation sanitaire
Phase 1 – fin mars 2021 :
• réouverture des restaurants le midi en semaine à l’occasion du service du déjeuner et utilisation des terrasses
• et réouverture des restaurants d’hôtels pour les clients exclusivement

Phase 2 : début saison d’avril 2021 (vacances scolaires s’étalant du 10 avril au 8 mai) :
• réouverture des restaurants pour les 2 services (midi et soir) semaine et week-end

Phase 3 : juin 2021
• réouverture des bars et des discothèques avec un protocole sanitaire spécifique
Par ailleurs, la profession est favorable à une réouverture des restaurants le midi pour tous les établissements qui le souhaitent, dans des conditions d’accompagnement organisées.

La réouverture des cafés et des restaurants pour le service du déjeuner est :
une mesure nécessaire pour les français privés de lieu de restauration hors domicile et de convivialité
un message d’espoir à nos chefs d’entreprises qui attendent de reprendre une activité et à nos salariés inquiets de la situation financière de leur entreprise et de la pérennité de leur emploi

La réouverture des cafés et des restaurants devra être accompagnée au regard des caractéristiques du service du déjeuner :
▪ le protocole sanitaire réduit (le plus souvent de moitié) la capacité d’accueil du restaurant
▪ le télétravail détourne les salariés des restaurants
▪ le ticket moyen du midi est habituellement inférieur à celui du soir

Une réouverture prenant en compte les transformations de la profession liées à la crise du covid-19 afin de permettre la vente à emporter et la livraison.

Une réouverture selon la situation sanitaire locale au niveau du département avec un délai de prévenance.
L’absence de tension sur les services hospitaliers départementaux et de circulation active du virus dans certains départements doit permettre une ouverture des cafés et des restaurants.

Une grande campagne de vaccination des salariés du secteur organisée avec nos assureurs.

Si la réouverture des cafés et des restaurants est organisée d’un point de vue sanitaire, elle doit aussi être accompagnée.

Les modalités d’accompagnement des entreprises à l’occasion de la réouverture des cafés et des restaurants :
Des mesures s’imposent dans les semaines encadrant la réouverture et durant tout le temps où des contraintes sanitaires s’imposeront aux établissements :

1- La poursuite de l’activité partielle sans reste à charge pour les entreprises du secteur jusqu’au 30 juin 2021 puis une poursuite de l’indemnisation sans reste à charge dans le cadre d’un accord APLD.
L’objectif est de permettre à toutes les entreprises du secteur de continuer de recourir à un dispositif d’indemnisation sans reste à charge pendant la fermeture des cafés et des restaurants, puis lors de leur réouverture et jusqu’à la reprise d’une activité non dégradée en raison des mesures sanitaires… comme ce fût le cas lors du 1er déconfinement avec le maintien de l’activité partielle jusqu’à la fin de l’année 2020.

2- Le maintien des exonérations de charges sociales patronales et crédit de cotisation de 20 %
L’objectif est de « baisser le point mort des entreprises » selon l’expression du Président de la République afin de les inciter à une reprise d’activité même dégradée.

3- Le maintien d’une indemnisation des entreprises sur la base d’un pourcentage du CA ou de l’EBE négatif enregistré afin de ne pas condamner les entreprises les plus pénalisées par une reprise dégradée.

D’autre part, une attention devra être portée sur la situation des apprentis qui n’ont pas eu accès à leurs entreprises depuis la fin du mois d’octobre 2020 et qui vont devoir se présenter à leurs examens.
Les Organisations Professionnelles proposent de permettre aux apprentis d’être à 100 % dans les entreprises dès la réouverture pour être préparés aux examens de juin (certains CFA ont aménagé les emplois du temps pour anticiper cela).

A ces mesures d’accompagnement immédiat viendront s’ajouter des mesures d’un plan de relance nouveau permettant de désendetter les entreprises, de valoriser et de relancer l’activité.

Source : communiqué UMIH GNI GNC SNRTC

LES RESERVES DU SNEG & CO

Considérer comme « inconcevable » le recours au passeport vaccinal n’est pas une position constructive. Il aurait été opportun dindiquer une préférence pour le passe sanitaire dans la mesure celui-ci permettrait une réouverture dans de meilleurs délais, reposant non pas sur le seul vaccin (qui n’est pas disponible pour tous d’une part, qu’on ne peut imposer à quiconque d’autre part), mais aussi sur l’immunité acquise ou encore la réalisation de tests PCR ou antigéniques récents. Par ailleurs, ce passe sanitaire devrait n’être établi qu’à titre temporaire, en attendant la fin effective de la crise sanitaire.

La distanciation sociale n’est évoquée que pour les clients assis. Quid des établissements recevant de la clientèle debout,

Aujourd’hui,  les Organisations Professionnelles ont remis au Président de la République, au Premier ministre et à Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’Etat en charge du Tourisme, une contribution pour préparer la réouverture de nos établissements.

Bien que syndicat associé de l’UMIH, le SNEG & Co émet de nombreuses réserves (lire plus loin) à cette contribution signée également par le GNI, le GNC et le SNRTC.

En préalable indispensable, il est réclamée une date fixée et respectée de réouverture avec un délai de prévenance de 3 semaines afin d’informer les professionnels de la prochaine réouverture.
Ces 3 semaines doivent permettre de reconstituer les équipes, de les former et de donner les moyens aux entreprises de fonctionner de nouveau.

  1. Les modalités sanitaires de la réouverture
    Des préalables
    – La distanciation sociale ne saurait être revue à la hausse : 1 mètre entre les chaises des clients n’appartenant pas au même groupe est un maximum.
    – L’exigence d’un « passeport vaccinal » à l’entrée de l’établissement est inconcevable.
    – Une réouverture sécurisée reposant sur un protocole sanitaire défini par la profession et validé par l’Etat, et l’utilisation du QR codes.
    – Un renforcement des contrôles pour sanctionner les professionnels qui ne respecteraient pas les règles.

Une réouverture progressive et pragmatique adaptée à la situation sanitaire
Phase 1 – fin mars 2021 :
• réouverture des restaurants le midi en semaine à l’occasion du service du déjeuner et utilisation des terrasses
• et réouverture des restaurants d’hôtels pour les clients exclusivement

Phase 2 : début saison d’avril 2021 (vacances scolaires s’étalant du 10 avril au 8 mai) :
• réouverture des restaurants pour les 2 services (midi et soir) semaine et week-end

Phase 3 : juin 2021
• réouverture des bars et des discothèques avec un protocole sanitaire spécifique
Par ailleurs, la profession est favorable à une réouverture des restaurants le midi pour tous les établissements qui le souhaitent, dans des conditions d’accompagnement organisées.

La réouverture des cafés et des restaurants pour le service du déjeuner est :
une mesure nécessaire pour les français privés de lieu de restauration hors domicile et de convivialité
un message d’espoir à nos chefs d’entreprises qui attendent de reprendre une activité et à nos salariés inquiets de la situation financière de leur entreprise et de la pérennité de leur emploi

La réouverture des cafés et des restaurants devra être accompagnée au regard des caractéristiques du service du déjeuner :
▪ le protocole sanitaire réduit (le plus souvent de moitié) la capacité d’accueil du restaurant
▪ le télétravail détourne les salariés des restaurants
▪ le ticket moyen du midi est habituellement inférieur à celui du soir

Une réouverture prenant en compte les transformations de la profession liées à la crise du covid-19 afin de permettre la vente à emporter et la livraison.

Une réouverture selon la situation sanitaire locale au niveau du département avec un délai de prévenance.
L’absence de tension sur les services hospitaliers départementaux et de circulation active du virus dans certains départements doit permettre une ouverture des cafés et des restaurants.

Une grande campagne de vaccination des salariés du secteur organisée avec nos assureurs.

Si la réouverture des cafés et des restaurants est organisée d’un point de vue sanitaire, elle doit aussi être accompagnée.

Les modalités d’accompagnement des entreprises à l’occasion de la réouverture des cafés et des restaurants :
Des mesures s’imposent dans les semaines encadrant la réouverture et durant tout le temps où des contraintes sanitaires s’imposeront aux établissements :

1- La poursuite de l’activité partielle sans reste à charge pour les entreprises du secteur jusqu’au 30 juin 2021 puis une poursuite de l’indemnisation sans reste à charge dans le cadre d’un accord APLD.
L’objectif est de permettre à toutes les entreprises du secteur de continuer de recourir à un dispositif d’indemnisation sans reste à charge pendant la fermeture des cafés et des restaurants, puis lors de leur réouverture et jusqu’à la reprise d’une activité non dégradée en raison des mesures sanitaires… comme ce fût le cas lors du 1er déconfinement avec le maintien de l’activité partielle jusqu’à la fin de l’année 2020.

2- Le maintien des exonérations de charges sociales patronales et crédit de cotisation de 20 %
L’objectif est de « baisser le point mort des entreprises » selon l’expression du Président de la République afin de les inciter à une reprise d’activité même dégradée.

3- Le maintien d’une indemnisation des entreprises sur la base d’un pourcentage du CA ou de l’EBE négatif enregistré afin de ne pas condamner les entreprises les plus pénalisées par une reprise dégradée.

D’autre part, une attention devra être portée sur la situation des apprentis qui n’ont pas eu accès à leurs entreprises depuis la fin du mois d’octobre 2020 et qui vont devoir se présenter à leurs examens.
Les Organisations Professionnelles proposent de permettre aux apprentis d’être à 100 % dans les entreprises dès la réouverture pour être préparés aux examens de juin (certains CFA ont aménagé les emplois du temps pour anticiper cela).

A ces mesures d’accompagnement immédiat viendront s’ajouter des mesures d’un plan de relance nouveau permettant de désendetter les entreprises, de valoriser et de relancer l’activité.

Source : communiqué UMIH GNI GNC SNRTC

LES RESERVES DU SNEG & CO

Considérer comme « inconcevable » le recours au passeport vaccinal n’est pas une position constructive. Il aurait été opportun dindiquer une préférence pour le passe sanitaire dans la mesure celui-ci permettrait une réouverture dans de meilleurs délais, reposant non pas sur le seul vaccin (qui n’est pas disponible pour tous d’une part, qu’on ne peut imposer à quiconque d’autre part), mais aussi sur l’immunité acquise ou encore la réalisation de tests PCR ou antigéniques récents. Par ailleurs, ce passe sanitaire devrait n’être établi qu’à titre temporaire, en attendant la fin effective de la crise sanitaire.

La distanciation sociale n’est évoquée que pour les clients assis. Quid des établissements recevant de la clientèle debout,

Aujourd’hui,  les Organisations Professionnelles ont remis au Président de la République, au Premier ministre et à Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’Etat en charge du Tourisme, une contribution pour préparer la réouverture de nos établissements.

Bien que syndicat associé de l’UMIH, le SNEG & Co émet de nombreuses réserves (lire plus loin) à cette contribution signée également par le GNI, le GNC et le SNRTC.

En préalable indispensable, il est réclamée une date fixée et respectée de réouverture avec un délai de prévenance de 3 semaines afin d’informer les professionnels de la prochaine réouverture.
Ces 3 semaines doivent permettre de reconstituer les équipes, de les former et de donner les moyens aux entreprises de fonctionner de nouveau.

  1. Les modalités sanitaires de la réouverture
    Des préalables
    – La distanciation sociale ne saurait être revue à la hausse : 1 mètre entre les chaises des clients n’appartenant pas au même groupe est un maximum.
    – L’exigence d’un « passeport vaccinal » à l’entrée de l’établissement est inconcevable.
    – Une réouverture sécurisée reposant sur un protocole sanitaire défini par la profession et validé par l’Etat, et l’utilisation du QR codes.
    – Un renforcement des contrôles pour sanctionner les professionnels qui ne respecteraient pas les règles.

Une réouverture progressive et pragmatique adaptée à la situation sanitaire
Phase 1 – fin mars 2021 :
• réouverture des restaurants le midi en semaine à l’occasion du service du déjeuner et utilisation des terrasses
• et réouverture des restaurants d’hôtels pour les clients exclusivement

Phase 2 : début saison d’avril 2021 (vacances scolaires s’étalant du 10 avril au 8 mai) :
• réouverture des restaurants pour les 2 services (midi et soir) semaine et week-end

Phase 3 : juin 2021
• réouverture des bars et des discothèques avec un protocole sanitaire spécifique
Par ailleurs, la profession est favorable à une réouverture des restaurants le midi pour tous les établissements qui le souhaitent, dans des conditions d’accompagnement organisées.

La réouverture des cafés et des restaurants pour le service du déjeuner est :
une mesure nécessaire pour les français privés de lieu de restauration hors domicile et de convivialité
un message d’espoir à nos chefs d’entreprises qui attendent de reprendre une activité et à nos salariés inquiets de la situation financière de leur entreprise et de la pérennité de leur emploi

La réouverture des cafés et des restaurants devra être accompagnée au regard des caractéristiques du service du déjeuner :
▪ le protocole sanitaire réduit (le plus souvent de moitié) la capacité d’accueil du restaurant
▪ le télétravail détourne les salariés des restaurants
▪ le ticket moyen du midi est habituellement inférieur à celui du soir

Une réouverture prenant en compte les transformations de la profession liées à la crise du covid-19 afin de permettre la vente à emporter et la livraison.

Une réouverture selon la situation sanitaire locale au niveau du département avec un délai de prévenance.
L’absence de tension sur les services hospitaliers départementaux et de circulation active du virus dans certains départements doit permettre une ouverture des cafés et des restaurants.

Une grande campagne de vaccination des salariés du secteur organisée avec nos assureurs.

Si la réouverture des cafés et des restaurants est organisée d’un point de vue sanitaire, elle doit aussi être accompagnée.

Les modalités d’accompagnement des entreprises à l’occasion de la réouverture des cafés et des restaurants :
Des mesures s’imposent dans les semaines encadrant la réouverture et durant tout le temps où des contraintes sanitaires s’imposeront aux établissements :

1- La poursuite de l’activité partielle sans reste à charge pour les entreprises du secteur jusqu’au 30 juin 2021 puis une poursuite de l’indemnisation sans reste à charge dans le cadre d’un accord APLD.
L’objectif est de permettre à toutes les entreprises du secteur de continuer de recourir à un dispositif d’indemnisation sans reste à charge pendant la fermeture des cafés et des restaurants, puis lors de leur réouverture et jusqu’à la reprise d’une activité non dégradée en raison des mesures sanitaires… comme ce fût le cas lors du 1er déconfinement avec le maintien de l’activité partielle jusqu’à la fin de l’année 2020.

2- Le maintien des exonérations de charges sociales patronales et crédit de cotisation de 20 %
L’objectif est de « baisser le point mort des entreprises » selon l’expression du Président de la République afin de les inciter à une reprise d’activité même dégradée.

3- Le maintien d’une indemnisation des entreprises sur la base d’un pourcentage du CA ou de l’EBE négatif enregistré afin de ne pas condamner les entreprises les plus pénalisées par une reprise dégradée.

D’autre part, une attention devra être portée sur la situation des apprentis qui n’ont pas eu accès à leurs entreprises depuis la fin du mois d’octobre 2020 et qui vont devoir se présenter à leurs examens.
Les Organisations Professionnelles proposent de permettre aux apprentis d’être à 100 % dans les entreprises dès la réouverture pour être préparés aux examens de juin (certains CFA ont aménagé les emplois du temps pour anticiper cela).

A ces mesures d’accompagnement immédiat viendront s’ajouter des mesures d’un plan de relance nouveau permettant de désendetter les entreprises, de valoriser et de relancer l’activité.

Source : communiqué UMIH GNI GNC SNRTC

LES RESERVES DU SNEG & CO

Considérer comme « inconcevable » le recours au passeport vaccinal n’est pas une position constructive. Il aurait été opportun dindiquer une préférence pour le passe sanitaire dans la mesure celui-ci permettrait une réouverture dans de meilleurs délais, reposant non pas sur le seul vaccin (qui n’est pas disponible pour tous d’une part, qu’on ne peut imposer à quiconque d’autre part), mais aussi sur l’immunité acquise ou encore la réalisation de tests PCR ou antigéniques récents. Par ailleurs, ce passe sanitaire devrait n’être établi qu’à titre temporaire, en attendant la fin effective de la crise sanitaire.

La distanciation sociale n’est évoquée que pour les clients assis. Quid des établissements recevant de la clientèle debout, , en l’occurrence les bars, bars de nuit ?

Le communiqué manque de précision sur l’objectif de l’utilisation de QR Codes, il convient de préciser qu’il s’agit exclusivement d’un mécanisme de rétrotraçage.

La proposition fait une distinction entre débits de boissons et restaurants.
En proposant d’une part la réouverture progressive des seuls restaurants fin mars puis au 10 avril et d’autre part celle des bars en juin 2021 (sans préciser de date, début juin, fin juin ?), cette contribution renouvelle la différence de traitement entre restaurants et débits de boissons. En conséquence, l’UMIH renie le recours gracieux, calqué sur celui du SNEG & Co, qu’elle avait adressé au Premier ministre mi-octobre, relatif au décret du 16 octobre qui instaurait pour la première fois cette distorsion entre débits de boissons. Nous allons donc, comme ce fut le cas à la publication de ce décret, constater que des restaurants ouverts, sans licence de débit de boissons, vont entre les repas pratiquer la vente d’alcool sans restauration, se substituant aux débits de boissons qui vont rester fermés ! Seul « un renforcement des contrôles pour sanctionner les professionnels qui ne respecteraient pas les règles » comme l’indique cette contribution pourra mettre un terme à cette iniquité proposée par les Organisations Professionnelles elles-mêmes !

– Sur l’ouverture des restaurants, la phrase « la profession est favorable à une réouverture des restaurants le midi pour tous les établissements qui le souhaitent, dans des conditions d’accompagnement organisées » est incompréhensible. Renseignement pris, il faut lire que les restaurants qui ne veulent pas rouvrir le pourront, moyennant la poursuite des indemnisations comme s’ils restaient interdits d’accueil au public. Nous avions espéré que cela puisse signifier que les débits de boissons sans cuisine auraient pu organiser une petite restauration, type snacking, pour rouvrir eux aussi dans le même temps. Ce n’est pas le cas.

Le recours à l’utilisation des terrasses n’est évoqué que pour les restaurants. Il aurait du être proposé une ouverture progressive des débits de boissons, à commencer par leurs terrasses.

En conclusion, le SNEG & Co affirme son désaccord sur tous ces points. Si les propositions de la profession ne sont pas forcément celles que va suivre le Gouvernement, il est toutefois regrettable qu’une partie de l’activité du CHRD ait été oubliée, négligée, stigmatisée (?) par ses représentants eux-mêmes.

 

Le communiqué manque de précision sur l’objectif de l’utilisation de QR Codes, il convient de préciser qu’il s’agit exclusivement d’un mécanisme de rétrotraçage.

La proposition fait une distinction entre débits de boissons et restaurants.
En proposant d’une part la réouverture progressive des seuls restaurants fin mars puis au 10 avril et d’autre part celle des bars en juin 2021 (sans préciser de date, début juin, fin juin ?), cette contribution renouvelle la différence de traitement entre restaurants et débits de boissons. En conséquence, l’UMIH renie le recours gracieux, calqué sur celui du SNEG & Co, qu’elle avait adressé au Premier ministre mi-octobre, relatif au décret du 16 octobre qui instaurait pour la première fois cette distorsion entre débits de boissons. Nous allons donc, comme ce fut le cas à la publication de ce décret, constater que des restaurants ouverts, sans licence de débit de boissons, vont entre les repas pratiquer la vente d’alcool sans restauration, se substituant aux débits de boissons qui vont rester fermés ! Seul « un renforcement des contrôles pour sanctionner les professionnels qui ne respecteraient pas les règles » comme l’indique cette contribution pourra mettre un terme à cette iniquité proposée par les Organisations Professionnelles elles-mêmes !

– Sur l’ouverture des restaurants, la phrase « la profession est favorable à une réouverture des restaurants le midi pour tous les établissements qui le souhaitent, dans des conditions d’accompagnement organisées » est incompréhensible. Renseignement pris, il faut lire que les restaurants qui ne veulent pas rouvrir le pourront, moyennant la poursuite des indemnisations comme s’ils restaient interdits d’accueil au public. Nous avions espéré que cela puisse signifier que les débits de boissons sans cuisine auraient pu organiser une petite restauration, type snacking, pour rouvrir eux aussi dans le même temps. Ce n’est pas le cas.

Le recours à l’utilisation des terrasses n’est évoqué que pour les restaurants. Il aurait du être proposé une ouverture progressive des débits de boissons, à commencer par leurs terrasses

En conclusion, le SNEG & Co affirme son désaccord sur tous ces points. Si les propositions de la profession ne sont pas forcément celles que va suivre le Gouvernement, il est toutefois regrettable qu’une partie de l’activité du CHRD ait été oubliée, négligée, stigmatisée (?) par ses représentants eux-mêmes.

 

Le communiqué manque de précision sur l’objectif de l’utilisation de QR Codes, il convient de préciser qu’il s’agit exclusivement d’un mécanisme de rétrotraçage.

La proposition fait une distinction entre débits de boissons et restaurants.
En proposant d’une part la réouverture progressive des seuls restaurants fin mars puis au 10 avril et d’autre part celle des bars en juin 2021 (sans préciser de date, début juin, fin juin ?), cette contribution renouvelle la différence de traitement entre restaurants et débits de boissons. En conséquence, l’UMIH renie le recours gracieux, calqué sur celui du SNEG & Co, qu’elle avait adressé au Premier ministre mi-octobre, relatif au décret du 16 octobre qui instaurait pour la première fois cette distorsion entre débits de boissons. Nous allons donc, comme ce fut le cas à la publication de ce décret, constater que des restaurants ouverts, sans licence de débit de boissons, vont entre les repas pratiquer la vente d’alcool sans restauration, se substituant aux débits de boissons qui vont rester fermés ! Seul « un renforcement des contrôles pour sanctionner les professionnels qui ne respecteraient pas les règles » comme l’indique cette contribution pourra mettre un terme à cette iniquité proposée par les Organisations Professionnelles elles-mêmes !

– Sur l’ouverture des restaurants, la phrase « la profession est favorable à une réouverture des restaurants le midi pour tous les établissements qui le souhaitent, dans des conditions d’accompagnement organisées » est incompréhensible. Renseignement pris, il faut lire que les restaurants qui ne veulent pas rouvrir le pourront, moyennant la poursuite des indemnisations comme s’ils restaient interdits d’accueil au public. Nous avions espéré que cela puisse signifier que les débits de boissons sans cuisine auraient pu organiser une petite restauration, type snacking, pour rouvrir eux aussi dans le même temps. Ce n’est pas le cas.

Le recours à l’utilisation des terrasses n’est évoqué que pour les restaurants. Il aurait du être proposé une ouverture progressive des débits de boissons, à commencer par leurs terrasses

En conclusion, le SNEG & Co affirme son désaccord sur tous ces points. Si les propositions de la profession ne sont pas forcément celles que va suivre le Gouvernement, il est toutefois regrettable qu’une partie de l’activité du CHRD ait été oubliée, négligée, stigmatisée (?) par ses représentants eux-mêmes.