Point d’information du 6 janvier 2023

A la une, L'actu du CHRD — 9 janvier 2023


Ce premier point d’information de 2023 évoque :

1/ Les mécanismes d’aides face à l’augmentation des prix de l’énergie

2/ La fermeture administrative des établissements pour des sujets liés aux stupéfiants ou aux violences sexistes ou sexuelles (VSS)

1/ Les mécanismes d’aides face à l’augmentation des prix de l’énergie

Nous vous proposons ici de revenir sur les mécanismes d’aides face à l’augmentation des prix de l’énergie : bouclier tarifaire, amortisseur électricité, il faut de toute façon vous manifester auprès de votre fournisseur d’électricité via une attestation type que nous vous fournissons, ainsi qu’une série de contacts utiles pour bien comprendre ce sujet :

Pour rappel, pour une aide personnalisée, nous vous conseillons de prendre attache avec notre courtier en énergie Opéra Energie.

Basé à Lyon mais présent sur toute la France via une série de délégations régionales, Opéra Energie pourra répondre à vos questions, étudier vos contrats, vous faire des propositions de contrats renouvelés ou nouveaux contrats avec le meilleur fournisseur selon vos besoins.

Consulter Opéra Energie ne vous coûtera rien, que vous souscriviez ou non un contrat par leur intermédiaire. En effet, Opéra Energie est rémunéré par le fournisseur d’énergie et non par ses clients.

Vous retrouvez la présentation d’Opéra Energie en vidéo et plus complètement sur le site.

Votre premier contact en précisant que vous êtes adhérent au SNEG & Co : Linda Saber au 06 38 33 21 22 ou sur linda.saber@opera-energie.com

2/ La fermeture administrative des établissements pour des sujets liés aux stupéfiants ou aux violences sexistes ou sexuelles (VSS)

Cette semaine, un établissement parisien a été sanctionné par une fermeture administrative de 15 jours pour des cas d’overdose et de viols, un autre a perdu son autorisation de nuit pour des faits similaires… Le ministre de l’Intérieur a adopté une ligne tolérance zéro sur ces sujets. En conséquence, dans les départements, les préfectures font appliquer strictement la loi. Toute la responsabilité revient à l’établissement qui est sanctionné : perte d’autorisation de nuit, fermeture administrative.

Cette politique de sanction est anormale quand l’établissement est impliqué dans les politiques de prévention et de réduction des risques (salariés formés, intervention d’associations de santé, affichages des campagnes de prévention…) et que le service de sécurité – dans la mesure des moyens dont il dispose – agit pour éviter tout incident.

Si le sujet n’est pas nouveau, la posture du ministère de l’Intérieur devient plus ferme encore qu’auparavant tandis que les VSS et la consommation de produits stupéfiants deviennent de plus en plus nombreux.

Le SNEG & Co entend faire valoir auprès du ministère de l’Intérieur, qu’un traitement particulier à décharge doit être pris en compte pour ces établissements qui, ne pouvant placer un agent de sécurité derrière chaque client, se trouvent dépassés comme l’Etat l’est lui-même, par ces sujets de VSS et de stupéfiants, en dépit de toutes les mesures préventives et actions volontaires qu’ils déploient pour les éviter.